dimanche 21 octobre 2012

Peut-on encore croire que le Peuple tunisien acceptera une nouvelle dictature?

La revue "Maghreb" a publié à la Une "Ghannouchi un danger pour la Tunisie et son identité".  Rached Ghannouci a toujours affiché ses idées et aucun responsable ne peut prétendre les ignorer, déjà bien avant l'autorisation accordée à son parti...La question qui se pose alors:  a-t-il achevé le rôle qu'on a bien voulu lui accorder jusque là, ou alors s'est-on aperçu qu'il ne sera facile de le déloger..? Dès lors, qui prépare-t-on pour lui succéder maintenant qu'on imagine que sa partition est terminée et que le peuple, sinon la majorité silencieuse, est mûr pour accepter une nouvelle dictature...démocratique...? Naceur Ben Frija, le 21 octobre 2012.

samedi 20 octobre 2012

Sommes-nous en train de nous départir de l'essentiel?

Où en sommes-nous avec l'élaboration de la nouvelle constitution..? Le 23 juin 2013, date fixée pour l’organisation des prochaines élections législative et présidentiel, échéances complexes..., est vite arrivé... Serions nous prêts...Comment ne pas nous en détourner d'autant plus que tout repose sur leur réalisation pour remettre le pays sur les rails.. ? Naceur Ben Frija, le 20 octobre 2012.

mercredi 17 octobre 2012

Du rôle majeur des médias pour contribuer à la Tunisie démocratique future.




Pour se transformer réellement en quatrième pouvoir, ce qui est le cas à notre époque dans les démocraties, à côté des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, les médias en Tunisie doivent poursuivre leur démarquage de tout lobby, groupes de pressions et partis politiques pour pouvoir entreprendre leur travail en toute indépendance. Les partis politiques sont censés avoir leurs organes de propagande et les journalistes qui optent pour ce type de coopération partisane doivent savoir qu’ils ne feraient plus partie du quatrième pouvoir pour la simple raison qu’ils ne peuvent plus se considérer impartiaux, objectifs et en tout cas perçus comme tels par l’opinion publique. Naceur BEN FRIJA, le 17 mars 2011.

vendredi 12 octobre 2012

A qui profiterait l'instabilité?

Il est vrai que la situation du pays est critique à tout point de vue…les enjeux sont en effet grands et peuvent être lourds de conséquence pour la Tunisie future…Cependant, nous ne devons pas perdre de vue que tout vide politique et institutionnel pourrait s’avérer néfaste pour notre chère Tunisie…C’est pourquoi, j’estime que la société civile et les médias ont un rôle essentiel à jouer pour favoriser la construction de la Tunisie future sur des bases démocratiques solides, dans la stabilité, la souveraineté et l’invulnérabilité en vue d'une prospérité durable qui ne peut être atteinte et atteindre toutes les composantes de la Nation que dans un environnement national serein sans perdre de vue l’environnent régional et international qui eux aussi sont à la quête de sérénité …Dès lors, la question suivante mériterait d’être posée : à qui profiterait un vide institutionnel en Tunisie ?... Naceur Ben Frija, le 12.10.2012