jeudi 5 novembre 2015
vendredi 26 juin 2015
Appel à la “communauté internationale” à trouver une solution rapide et déterminée au phénomène du “terrorisme”.
Trois attentats (Tunisie, Koweït et France) ignobles et condamnables, perpétrés en ce vendredi 26 juin 2015. Ces lâches attentats suscitent interrogations de par leur timing et quant aux motivations et visées des commanditaires.
Dans ces trois actions terroristes barbares, nous avons là tous les ingrédients pour faire naître la haine, fomenter des guerres civiles, des guerres interconfessionnelles, mettant une grande partie de l’humanité à feu et à sang.
Qui peut-il bien croire qu’il peut véritablement en tirer profit à long-terme? Certainement pas ceux ne cessent depuis quelque temps déjà, par de pseudo-experts en terrorisme interposés, à faire l’apologie de la guerre et même à prédire une troisième guerre mondiale à l'humanité, sans tirer les leçons du passé...
Alors que l’on n’a jamais encore entendu ces mêmes “experts” préconiser une solution rapide et déterminée pour lutter contre le phénomène du “terrorisme”…Ne parlons pas du mot “dialogue”…Nom totalement ignoré en la matière par “la communauté internationale” ...En attendant le grand cataclysme que l'on nous prédit à longueur de journée, d'innocentes victimes tombent ici et là l'on ne sait pour quelle cause qui pourrait servir l'humanité dans son ensemble... Bien au contraire à observer bien les choses, l'humanité est en voie de perdre la foi et finira par déserter complétement les lieux de culte...Car elle ne veut plus servir de chair à canon...Au service d'illuminés ou limités de tout bord... Naceur Ben Frija, le 26 juin 2015.
Dans ces trois actions terroristes barbares, nous avons là tous les ingrédients pour faire naître la haine, fomenter des guerres civiles, des guerres interconfessionnelles, mettant une grande partie de l’humanité à feu et à sang.
Qui peut-il bien croire qu’il peut véritablement en tirer profit à long-terme? Certainement pas ceux ne cessent depuis quelque temps déjà, par de pseudo-experts en terrorisme interposés, à faire l’apologie de la guerre et même à prédire une troisième guerre mondiale à l'humanité, sans tirer les leçons du passé...
Alors que l’on n’a jamais encore entendu ces mêmes “experts” préconiser une solution rapide et déterminée pour lutter contre le phénomène du “terrorisme”…Ne parlons pas du mot “dialogue”…Nom totalement ignoré en la matière par “la communauté internationale” ...En attendant le grand cataclysme que l'on nous prédit à longueur de journée, d'innocentes victimes tombent ici et là l'on ne sait pour quelle cause qui pourrait servir l'humanité dans son ensemble... Bien au contraire à observer bien les choses, l'humanité est en voie de perdre la foi et finira par déserter complétement les lieux de culte...Car elle ne veut plus servir de chair à canon...Au service d'illuminés ou limités de tout bord... Naceur Ben Frija, le 26 juin 2015.
lundi 1 juin 2015
vendredi 29 mai 2015
Comment bannir un certain langage dans la Tunisie future?
Je pense qu'il faut bannir une fois pour toute l'opposition de Tunisiens
patriotes et de Tunisiens non patriotes. Ce genre de langage est d'un
autre temps... Il n'y a pas de Tunisiens patriotes et d'autres qui ne
sont pas patriotes. Il faut s'habituer à voir, écouter et accepter des
Tunisiens d'opinions et d'idées divergentes sans pour autant que les uns
soient plus patriotes que d'autres. Le contraire serait de la
démagogie, de la mauvaise foi et irait à l'encontre de la liberté et de
la démocratie... et de la Tunisie future. Naceur Ben Frija, le 29 mai 2015.
mercredi 27 mai 2015
Ne pas confondre démagogie et populisme avec patriotisme...
J'ai lu ces derniers temps sur les réseaux sociaux de nombreux
commentaires persistants faisant état de la nécessité de vendre et de
partager avec le peuple les richesses naturelles en particulier le
pétrole... Je voudrais faire une remarque à ce propos, tout en soutenant
la lutte contre la corruption d'où qu'elle vienne, que même si la
Tunisie dormait sur une mer de pétrole ou autres matière première, je
pense qu'on ne doit pas confondre richesse et gestion de la richesse...
Ce n'est pas parcequ'on est riche qu'on doit brader sa richesse sans
coller à la réalité du marché du moment... Aussi, il faut éviter de
troubler les esprits en tombant dans le simplisme et le populisme qui ne
peuvent servir ni la démocratie ni la liberté et encore moins la
souveraineté...demander la transparence est légitime et doit être
accepter comme telle...,mais il faut tenir compte des lois du marché
aussi, notamment dans le domaine des matières premières... Alors de
grâce, que ceux qui pensent avoir trouvé une tribune pour leur ego sur
ce thème... révisent bien leur matière avant de s'élancer dans
l'approximation...qui risque d'induire en erreur les moins nantis en
connaissance des données et des aboutissants du sujet...La cohésion
sociale ne doit pas souffrir des insuffisances en cette période et
encore moins de démagogie...Naceur Ben Frija, le 27 mai 2015.
mardi 26 mai 2015
vendredi 22 mai 2015
Portée du memorandum signé par la Tunisie à Washignton.
Tout
d’abord, il faut rappeler que la Tunisie est aujourd’hui une république au régime parlementaire
et donc, ni présidentielle, ni semi-présidentielle. De là en découlent certaines
règles à la fois juridiques et de procédure
mais aussi d’ordre protocolaire.
Du
point de vue juridique, pour en venir au “statut d’allié majeur non-membre de
l’OTAN”, dont la Tunisie devrait jouir à l’avenir dans ses rapports avec les États-Unis d'Amérique, suite au memorandum signé à Washington, cet instrument juridique, qui lie désormais les deux pays, prête à interprétation. Car, il n'est pas seulement annoncé que la Tunisie sera dorénavant partenaire au statut privilégié de Washington, mais bien spécifié comme État non membre de l'OTAN. Ce qui ne peut que donner une portée militaire et même stratégique certaine au memorandum.
Un tel statut nécessite, constitutionnellement, au préalable la concertation au
niveau national de toutes les parties constitutionnellement concernées. Nous pouvons penser que cela a été fait. Car il
s’agit d’engager la souveraineté du pays. Certes, le Chef de l’État a un large pouvoir en la matière, mais en régime parlementaire, les représentants du peuple sont impliqués d'une manière prépondérante.
D’autant plus que le memorandum engage la Tunisie en tant qu' "Allié majeur non membre de l'OTAN et non des États-Unis d’Amérique tout court…Ainsi, tel que formulé le statut militaire est prédominant. Cela peut laisser supposer que l'accord ne se limitera pas à la fourniture d'équipements militaires, mais pourrait s'étendre à l'aspect logistique auprès de l'OTAN aux côtés des États-Unis.
D’autant plus que le memorandum engage la Tunisie en tant qu' "Allié majeur non membre de l'OTAN et non des États-Unis d’Amérique tout court…Ainsi, tel que formulé le statut militaire est prédominant. Cela peut laisser supposer que l'accord ne se limitera pas à la fourniture d'équipements militaires, mais pourrait s'étendre à l'aspect logistique auprès de l'OTAN aux côtés des États-Unis.
N’ayant pas
connaissance du texte signé, je ne m’engagerai pas plus loin. Je dirais
simplement, que si tel devait être le cas, ceci pourrait avoir des conséquences sur la position stratégique
traditionnelle pour laquelle la Tunisie a opté jusqu’à maintenant…en terme militaire… Il est de
notoriété nationale et internationale que la Tunisie a toujours rejeté l’idée de
l’utilisation de son sol à des fins militaires par ses partenaires stratégiques…cette
conception émane de sa volonté de se ménager des marges de manœuvre sur la
scène internationale. Elle est aussi dictée par le rôle qui a toujours été le sien sur la scène diplomatique internationationale…Certains pourraient rétorquer que le monde est aujourd'hui en guerre et que nous sommes touchés par le phénomène des guerres régionales...
Certainement que toutes ces données n'ont pas échappé à notre président Béji Caïd Essebsi, chevronné homme politique et fin connaisseur en matière de diplomatie et de relations internationales.
Certainement que toutes ces données n'ont pas échappé à notre président Béji Caïd Essebsi, chevronné homme politique et fin connaisseur en matière de diplomatie et de relations internationales.
S’agissant
de la question protocolaire, qui a entouré la signature du memorandum, celle-ci est éminemment liée aux deux premiers aspects (juridique et procédural). Dans la
mesure où un tel instrument juridique doit avoir procéduralement fait l'objet de concertation
et sa nature ainsi que sa portée bien définies par toutes les parties prenantes, ils doivent aussi prévoir à l'avance les plénipotentiaires qui sont amenés à signer cet instrument juridique entre la Tunisie et les Etat-Unis d'Amérique, fondant le “statut d’allié majeur non-membre de
l’OTAN”.
Naceur Ben Frija, le 23 mai 2015
Vidéo d'annonce de ma candidature à l'élection présidentielle 2014
https://www.youtube.com/watch?v=T6LVslJH1m0
mercredi 20 mai 2015
Le 4ème pouvoir cède sa place dans la bourse des valeurs à la société civile...
Je
ne peux que constater depuis quelques temps déjà, avec un un immense
regret mais non sans espoir d'un retournement de la situation un jour
futur, que le quatrième pouvoir, tous les médias confondus, a cédé sa
place dans la bourse des valeurs à la société civile, appelée aussi la
rue ou l'opinion publique actives et agissantes...
Les raisons sont nombreuses semble-t-il...Sont-elles imputables à la formation des "journalistes", laquelle pourtant ne se fait plus sur le tas, ou à l'absence de vocation de certains d'entre eux...ou encore à la prise en charge du secteur par les pouvoirs financier, économique et autres lobbies...ou au sectarisme...ou au régionalisme...ou au corporatisme...? Est-il possible de croire, de nos jours, qu'il suffit d'avoir de l'argent pour s'ériger en quatrième pouvoir...? Quoiqu'il en soit, à observer la scène médiatique, le quatrième pouvoir a, pour l'heure, bel et bien, perdu sa position à la bourse des valeurs...
Il suffit, objectivement, de relever que les articles de fond ainsi que ceux d'investigation et d'analyse ne répondent plus aux critères de ces formes exigeantes de journalisme. Sans parler que dans beaucoup de cas, il y a recours au plagiat sans vergogne ou à l'appropriation indues d'idées d'autrui sans en mentionner l'origine...La liberté de la presse n'est-elle pas associée à la liberté de conscience...
Les auteurs, créateurs, innovateurs et libres dans leurs pensées devraient soigneusement choisir le média auquel ils remettent leurs œuvres (écrites ou orales), car c'est eux qui permettent à un média de se targuer ensuite de quatrième pouvoir grâce à leurs idées...N'est pas en fait quatrième pouvoir qui veut...Naceur Ben Frija, le 20 mai 2015.
Les raisons sont nombreuses semble-t-il...Sont-elles imputables à la formation des "journalistes", laquelle pourtant ne se fait plus sur le tas, ou à l'absence de vocation de certains d'entre eux...ou encore à la prise en charge du secteur par les pouvoirs financier, économique et autres lobbies...ou au sectarisme...ou au régionalisme...ou au corporatisme...? Est-il possible de croire, de nos jours, qu'il suffit d'avoir de l'argent pour s'ériger en quatrième pouvoir...? Quoiqu'il en soit, à observer la scène médiatique, le quatrième pouvoir a, pour l'heure, bel et bien, perdu sa position à la bourse des valeurs...
Il suffit, objectivement, de relever que les articles de fond ainsi que ceux d'investigation et d'analyse ne répondent plus aux critères de ces formes exigeantes de journalisme. Sans parler que dans beaucoup de cas, il y a recours au plagiat sans vergogne ou à l'appropriation indues d'idées d'autrui sans en mentionner l'origine...La liberté de la presse n'est-elle pas associée à la liberté de conscience...
Les auteurs, créateurs, innovateurs et libres dans leurs pensées devraient soigneusement choisir le média auquel ils remettent leurs œuvres (écrites ou orales), car c'est eux qui permettent à un média de se targuer ensuite de quatrième pouvoir grâce à leurs idées...N'est pas en fait quatrième pouvoir qui veut...Naceur Ben Frija, le 20 mai 2015.
Inscription à :
Articles (Atom)